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Se chercher à travers ombre et lumière

Se chercher à travers ombre et lumière
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1 janvier 2013

Retour de bâton

Comment se sentir bien humain en étant exténué avant minuit, après une semaine à 4/5h du matin (et une pointe à 6h hier).

Je suis particulièrement en colère en même temps donc je me demande comment rejoindre morphée sans mauvaise suprise.

L'année commence bien, je sais encore moins comment continuer dans mon couple quand chacune se bouffe sa place... Le sal paradoxe de vouloir chérir l'autre et le remettre à sa place, lui rentrer dans le mou pour stopper l'orgueil de merde au relan putride et gerbant. Est on fait pour partager le quotidien? Est ce possible de grandir avec l'autre sans s'étriper? Je n'en peux plus j'aspire à au calme, et en même temps on me demande de décider, d'agir, de faire ne sorte que les choses changent comme je l'entends. Cependant comment changer son monde quand ce qui nous gêne vient des gens (et la vie n'est pas fâite pour changer les gens)? Bordel j'en peux plus avant même essayer de me battre jusqu'au bout. Se résigner, laisser tomber,... c'est tellement faible/pleutre, ça me ferait mal de tout envoyer paître et me rendre malade pour ce gâchis. Du coup je suis comme une statut de pierre sur laquelle les pigeons chient sans vergogne : Ils l'aiment et y ont leurs habitudes, leur domicile, mais ne s'enquièrent pas de l'état de la statut, de l'état dans laquelle ils la rendent.


Super j'ai le spleen ...

Résolution number 1, confiance en soi, et dire directement que j'ai mal et que j'en ai marre de certaines susceptibilités (et arrêter d'être atteinte par leurs susceptibilités). (Ok ça en fait 4 en fait, et pas certaine de les respecter ces résolutions, trop difficiles d'un coup).

Sorry par la tonne de fautes de grammaire et orthographe je suis épuisée, j'essayerai de faire plus attention demain ;)

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30 décembre 2012

Relan immonde

Je me donne la gerbe. ANgoisse profonde qui me ronge et m'ecoeure. Pourquoi ce sentiment désagréable, souffrant, pressant, qui me tiraille jusqu'au bout des doigts? Sensation violente de sentir mon corps se battre contre l'énergie / l'essence vitale qui m'anime...

Je suis un gouffre émotionnel, qui veut se remplir encore et encore de toutes parts, sans vrai repos, ni fond. Je ne sais plus où s'arrête mon manque et où commence l'amour. Ai je envie de sentir l'envie et le désir d'un autre, ou ai je envie de fuir l'amour profond qu'on me propose, que je ne parviens pas à accepter. L'ennui me guette d'un côté, et de l'autre j'attends la passion, le feu, la morsure irréfléchie et bestiale de la nouveauté.

Quand la libido n'est plus, comment la reveiller sans blesser l'être qui ne nous comble plus? Je suis furieuse contre cette sensation finalement volatile de l'envie de l'autre, celle que je pensais éternelle. Pourquoi est ce allé si vite? Pourquoi n'ai je pas pu avoir plus d'expériences ce qui me rend si désemparée face à mes questionnements d'engagement? L'herbe est elle vraiment plus verte à côté? Je déteste cette sensation qui me pousse à vouloir détruire tout ce que j'ai construit depuis des années, sans savoir si ça m'aidera à m'épanouir avec quelqu'un d'autre.

 

30 décembre 2012

L'heure c'est l'heure?

4h et même pas épuisée... J'aime la nuit mais n'est ce pas une illusion? Me sentir protéger par l'absence de personnes gravitant ça et là. Je me sens quasi malade le matin, trop de lumière "vitale" me ferait elle peur? Je me complais dans un système de rejet, hors norme, et en même temps je suis tiraillée par mon mal être à être trop décalée. ParadoXe toujours et encore. Prendre ma place en société, ou survivre et attendre que ça passe... J'aimerai pouvoir prendre cette décision d'être en place tout simplement, assumer mes capacités, mes qualités, et tout ce qui peut m'épanouir avec l'autre. Pour l'instant je meurs à petit feu, sans savoir quoi mettre en place pour contrer mon auto sabotage. Fucking freak mind.

29 décembre 2012

COmment me prendre à mon propre piège, ou l'art

COmment me prendre à mon propre piège, ou l'art d'inviter une connaissance à prendre un verre quand tout ton corps te crie "NON". Fucking éducation T_T

 

29 décembre 2012

Entre jeux de mots pourris et déchirements

Entre jeux de mots pourris et déchirements psychiques voilà où j'en suis...

J'ai espoir de pouvoir écrire librement ce que j'ai encore peur de m'avouer.

Un blog d'un(e?) paumé(?) qui se demande si ça vaut le coup de trouver des solutions pour rentrer dans le moule histoire de se sentir moins déchiqueté(e).

Paradoxe des idées, des mots, des émotions, des actes. Qui je suis vraiment? Arriverai je un jour à dissocier ce que les autres attendent de moi et mes aspirations intrinsèques, ou même mes besoins et mes manques?

Devrais je répondre à la bestialité sexuelle, ou raisonner et me ranger? On me dit de faire des choix, que je repousse et avec lesquels je me débats depuis des mois. J'ai envie de liberté, de foutre en l'air toutes ces années de construction, d'emmurement de ma vraie personne qui veut se vautrer dans une autre réalité sociale où on n'attend pas de vous de correspondre aux critères "moyens". Putain de bordel de merde en tant que hors normes depuis ma naissance j'en ai plein le cul de devoir jouer la comédie. J'eusse aimé apprendre à jouer sur scène, ma fausse identité n'a servi qu'à ma destruction vitale. Ce discours grivois et provoc' me renvoit à ma couardise, à ce que j'entends par "pleutre" => se figer, avoir la peur au ventre de prendre ses reponsabilité, au lieu de vraiment vivre/exister ce qu'on sent bouillir en soi.

Choisir le ELLE ou le IL je n'y parviens pas, pourquoi ne pas entendre la possibilité d'un troisième sexe? Paradoxe physique et du genre.

CHoisir d'éttoufer ses capacités, ou d'assumer le magma intérieur (que pour l'instant je ne parviens pas voir en tant que qualités mais en tant que boulets).

Choisir de devenir un être qui s'assume, ou qui continue à se prendre des réflexions affligeantes quant à son physique?

Choisir de prendre ma place, ou de m'écraser indefiniment dès que l'autre est en désaccord?

Choisir de lacher ses fausses convictions ou de ronger un os bien connu?

 

JE choisis ce soir d'aborder ces questionnements qui me tuent à petit feu et que je ne parviens pas encore à exprimer IRL

 

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